C’est de l’eau de mer et des informations relatives à l’environnement du prélèvement – son, météo, nom du lieu – que je tire les principales matières nécessaires à la construction de mon œuvre.
De retour dans mon atelier, je réunis les conditions pour que l’œuvre se créée par elle-même.
La matière est prête. Je l’accompagne. J’assiste et l’assiste dans sa propre révélation.
De l’informe à la forme, de l’invisible au visible, de l’imperceptible au perceptible.
Souheil 2015